Le monde du travail est un monde impitoyable et l’économie de marché l’est encore plus. C’est ainsi que la France se trouve, à son tour, aspirée dans la spirale de la crise économique, expliquant la montée de son chômage intérieur comme étant la résultante d’une Europe qui a du mal à se construire et d’une mondialisation que rien n’arrête. De plus en plus d’entreprises françaises ont du mal à survivre. Nombreuses sont celles qui ferment laissant sur le pavé leur flot de chômeurs qui ont du mal à rebondir. Ces chômeurs sont souvent amères, souvent indignés et se retrouvent dans une situation qu’ils jugent injuste.
Au démarrage de la gamme SoWater, l’un d’eux, prénommé Etienne, est venu me voir pour faire l’acquisition d’un NUA 2ème génération, en avril 2013. Il avait pour objectif de créer sa petite entreprise de service autour des applications que le NUA pouvait réaliser avec brio et qui lui permettaient de se différencier par rapport à ses concurrents locaux du centre de la France, dans la région de Moulins. En fait, il avait tout de suite compris que la mobilité, l’autonomie et la flexibilité du NUA mises au service de travaux de nettoyage, le plus souvent avec de l’eau pure, allaient lui permettre de se construire un message fort et innovant auprès de ses prospects. Ce message était le suivant :
« Je peux intervenir partout, quand vous le voulez, sans faire de bruit, en toute autonomie, en toute sécurité car je travaille les deux pieds au sol, sur des hauteurs pouvant atteindre 15 à 20 mètres, avec de l’eau pure respectueuse du support et de l’environnement. Je peux, ainsi, vous proposer ma prestation moins chère que celle de mes confrères car je travaille plus vite. J’évite les opérations d’essuyage car l’eau pure sèche sans laisser de trace et je n’ai pas besoin ni d’un échafaudage, ni d’une nacelle ».